L’Ostéopathie, une médecine complémentaire

L’Ostéopathie, et plus largement les médecines douces et holistiques dans leur ensemble, représentent autant de disciplines complémentaires de la médecine allopathique.

L’Ostéopathie traite avec efficacité des pathologies dites « légères ». Ce sont, en premier lieu, les troubles dits « musculo-squelettique » (TMS) mais aussi leurs conséquences telles que les douleurs articulaires et musculaires, certains maux de têtes, des infections ORL, mais aussi de nombreux troubles fonctionnels digestifs circulatoires et endocriniens … qui installent progressivement un état de stress, de fatigue, d’anxiété, de nervosité et d’angoisse.

L’ostéopathe apporte également une aide significative post-traumatique et post-chirurgicale, en facilitant et en améliorant la récupération fonctionnelle.

Il n’est pas question de vouloir prouver la supériorité d’un système par rapport à un autre, mais bien plus de proposer des moyens
supplétifs et des solutions additionnelles pour permettre au « patient acteur » de devenir le premier artisan de sa guérison ou de son maintien en bonne santé.

Aujourd’hui, on constate en effet un véritable engouement du grand public pour les thérapies douces (naturopathie, micro-nutrition, phytothérapie, homéopathie, réflexologie, acupuncture, lymphologie, etc.) comme en témoigne la recrudescence de consultations d’ostéopathie (300 000 nouveaux patients par an et 4 millions de personnes déjà soignées) qui reflète la place grandissante que prennent les médecines douces dans le système de santé français, en tant qu’ « Eco Médecine ».

Ces thérapies prennent aujourd’hui tout leur sens face aux nombreux déséquilibres occasionnés par la vie moderne.
Les assureurs de complémentaires santé, d’ailleurs de plus en plus sollicités, sont conscients de l’intérêt sanitaire et, par voie de conséquence, économique qu’elles représentent.

L’ostéopathie permet d’améliorer la qualité de vie par le maintien d’une mobilité optimale.

Troisième âge